DIEU
A
PARLÉ !
QUI
ÉCOUTE ?

DIEU
A
PARLÉ !
QUI
ÉCOUTE ?

todayjuillet 23, 2024 6

Arrière-plan
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­­L’entrée
dans
le
3ème
millénaire
avait
donné
lieu,
il
y
a
cinq
ans,
à
des
projets
de
réjouissances
 encore
 jamais
 vus.
 C’était
 essentiellement
 au
 Château
 de
 Versailles,
 et
dans
 la
 célèbre
 Galerie
 des
 Glaces
 qui
 devaient
 se
 dérouler
 des
 festivités
 rassemblant
plus
de
mille
personnalités
qui
auraient
célébré
avec
 faste
cet
événement
rarissime :
le
passage
d’un
millénaire
à
l’autre.
Mais
 quelques
 jours
 avant,
 une
 tempête
 d’une
 ampleur
 jusqu’alors
 inconnue
 a
atteint
toute
la
France,
et
particulièrement
ce
lieu,
touchant
à
la
fois
les
bâtiments
et
le
Parc
de
ce
château
renommé.
Des
arbres
plusieurs
fois
centenaires
furent
déracinés
et
le
saccage
 fut
spectaculaire,
à
la
 fois
dans
et
hors
des
bâtiments,
ce
qui
annula
les
projets
en
 question.
 Aujourd’hui
 encore,
 de
 nombreuses
 forêts
 françaises
 n’ont
 pu
 être
restaurées
dans
leur
état
primitif.
Cinq
 ans
 après
 cette
 catastrophe,
 le
 monde
 a
 fêté
 Noël
 dans
 une
 débauche
 de
lumières,
de
cadeaux,
de
gastronomie
qui
semblait
ne
jamais
avoir
été
atteinte.
Une
fois
encore
survint
l’imprévisible ;
des
images
de
fin
du
monde
s’imposèrent
partout
sur
les
écrans,
alertant
le
secours
du
monde
entier.
ET
cela
est
arrivé
dans
un
endroit
qui
avait
attiré
des
milliers
de
touristes
de
tous
les
coins
du
monde
en
raison
des
agréments
d’une
nature
 paradisiaque
 et
 de
 tout
 ce
 qui
 y
 était
 mis
 en
 œuvre
 pour
 satisfaire
 le
 soir
 de
plaisir.
Aves‐vous
 réfléchi
 que
 si
 cela
 s’était
 produit
 deux
 semaines
 plus
 tôt
 ou
 deux
semaines
 plus
 tard,
il
 y
aurait
eu
moins
 de
 victimes ?
Pourquoi,
justement
au
moment
des
plus
importants
rassemblements
de
gens
venus
des
quatre
horizons ?
Dieu,
qui
tient
dans
Sa
main
la
destinée
des
hommes,
a
permis
qu’il
en
soit
ainsi.
Comment
devons‐nous
le
comprendre ?
Tout
d’abord,
qu’on
ne
s’y
trompe
pas !
« Lorsqu’Il
afflige,
il
a
compassion
selon
Sa
grande
 miséricorde ;
 Ce
 n’est
 pas
 volontiers
 qu’Il
 humilie
 et
 qu’Il
 afflige
 les
 enfants
 des
hommes « 
 (Lamentations :
 3 :
 32,
 33).
 Dans
 Son
 infinie
 sagesse
 de
 Père
 éternel,
 le
Seigneur
constate
que
ceux‐ci
sont
inaccessibles
aux
seuls
appels
de
 tendresse,
et
 Il
se
voit
contraint,
à
regret,
de
leur
parler
par
les
épreuves.
Quand
tout
va
bien,
il
est
si
facile
de
se
passer
de
Dieu !
Pour
leur
éviter
un
malheur
plus
grand
–
La
perte
éternelle
de
leur
âme
–
Dieu
éprouve
les
hommes
au
sein
de
leurs
plaisirs,
essayant
de
les
rapprocher
de
Lui
qui
est
la
vraie
source
de
toute
consolation,
de
toute
force.
Dans
une
épreuve
collective
comme
celle
que
viennent
de
vivre
ces
pays
d’Asie,
il
y
a
toujours
des
innocents
qui
souffrent,
c’est
vrai.
Lorsque,
dans
l’histoire
biblique,
Dieu
demandait
 à
 son
 peuple
 de
 détruire
 les
 nations
 païennes,
 il
 y
 avait
 aussi
 des
 enfants.
Mais
Dieu
savait
qu’ils
portaient
en
eux
les
germes
hérités
de
la
méchanceté
des
pères
et
Il
donnait
des
ordres
précis
pour
sauver
ce
qui
pouvait
l’être
encore.
2
Hélas,
l’Écriture
dit
que
le
bœuf
et
l’âne
connaissant
leur
maître,
mais
l’homme
ne
connaît
 pas
 son
 Créateur
 et
 refuse
 à
 Celui‐ci
 d’entrer
 dans
 sa
 vie
 et
 dans
 son
 cœur.
Quand
 cette
 attitude
 de
 rejet
 permanent
 arrive
 à
 porter
 les
 conséquences
 toutes
naturelles
de
ce
choix,
alors
on
s’étonne,
on
s’indigne
de
ne
pas
avoir
été
protégé.
Sachons,
cependant
que
« le
bras
de
l’Éternel
n’est
pas
trop
court
pour
sauver ».
Il
connaît
les
siens
et
les
garde
comme
la
prunelle
de
son
œil
dans
toutes
les
circonstances.
Partout,
Dieu
peut
garder
ceux
qui
se
confient
en
Lui.
Sa
puissance
ne
saurait
être
mise
en
 doute
 ni
 son
 amour
 être
 ignoré.
 Il
 suffit
 de
 relire
 le
 Psaume
 91,
 auquel
 tant
 de
chrétiens
se
sont
référés
pendant
la
seconde
guerre
mondiale :
« Que
mille
tombent
à
ton
côté
et
dix
mille
à
ta
droite,
tu
ne
seras
pas
atteint ;
de
tes
yeux
seulement
tu
regarderas
et
tu
verras
la
rétribution
des
méchants »
(Psaume
91 :
7‐8).
Ce
n’est
pas
de
notre
rôle
de
juger
qui
peut
et
doit
être
protégé ;
mais
il
saute
aux
yeux
 que
 ce
 n’était
 pas
 pour
 chercher
 la
 gloire
 de
 Dieu
 et
 Son
 service
 que
 tous
 ces
touristes
 s’entassaient
 sur
 les
 plages
 ensoleillées
 d’Asie
 en
 cette
 période
 de
 Noël.
 La
plupart
obéissaient
à
cette
« lame
de
fond »
qui
pousse
la
société
à
rechercher
le
plaisir
et
l’avantage
immédiat.
Par
ailleurs,
n’avons‐nous
pas
été
maintes
fois
informés
par
les
médias
 de
 l’existence
 dans
 ce
 coin
 du
 monde
 d’un
 « tourisme
 sexuel »
 inquiétant
 mais
hautement
 rentable
 financièrement ?
 Suivant
 les
 lois
 de
 ces
 différents
 pays,
 les
coupables
étaient
peu
punis
et
plus
souvent
relâchés.
Les
protestations
devant
ce
monstrueux
 trafic
étaient
 rares
et
 faibles ;
alors,
 on
ne
 peut
 que
 se
 souvenir
 de
 l’état
 de
 notre
 monde
 tel
 qu’il
 est
 décrit
 dans
 l’Écriture
Sainte,
juste
avant
le
déluge :
« L’Éternel
vit
que
la
méchanceté
des
hommes
était
grande
sur
la
terre
et
que
toutes
les
pensées
de
leur
cœur
se
tournaient
chaque
jour
uniquement
vers
le
mal »
(Genèse
6 :
5).
N’avons‐nous
pas
atteint
le
même
niveau,
intensifié
encore
par
 les
 techniques
 modernes
 qui
 multiplient
 à
 l’infini
 les
 conséquences
 des
 ces
 actes
immoraux ?
Ce
 que
 Dieu
 désire,
 ce
 n’est
 pas
 de
 frapper
 l’homme,
 mais
 de
 le
 convaincre
 de
changer
de
comportement.
C’est
nous
qui
Le
contraignons,
par
notre
rébellion,
à
user
de
moyens
 excessivement
 pénibles
 pour
 éclairer
 les
 consciences.
 Un
 auteur
 chrétien
 du
dix‐neuvième
 siècle
 écrivait :
 « Dieu
 a
 ses
 raisons
 aux
 tornades,
 aux
 tempêtes,
 aux
inondations,
aux
incendies.
Il
permet
aux
calamités
d’atteindre
son
peuple
afin
de
le
sauver
de
dangers
plus
grands.
Il
désire
que
chacun
examine
minutieusement
et
attentivement
les
dispositions
de
son
cœur
et
qu’il
se
rapproche
de
Dieu,
afin
que
Dieu
se
rapproche
de
lui.
Notre
vie
est
entre
les
mains
de
Dieu…
Il
permet
à
ce
qui
attriste
les
cœurs
de
frapper
ses
enfants
parce
qu’Il
voit
que
ceux­ci
ont
besoin
de
suivre
avec
leurs
pieds
des
voies
droites,
afin
que
ce
qui
est
boiteux
ne
dévie
pas…
Il
sait
de
quoi
nous
sommes
faits,
et
Il
se
souvient
que
nous
sommes
poussière.
Cependant,
même
les
cheveux
de
notre
tête
sont
comptés.
Il
se
sert
des
causes
naturelles
pour
inciter
ses
enfants
à
se
souvenir
qu’Il
ne
les
a
pas
oubliés…
Sans
cesse,
Il
travail
à
notre
bien
éternel,
­
même
si
ce
n’est
pas
comme
nous
le
pensons ».
La
leçon
 à
 tirer
 d’évènements
 aussi
 traumatisants
 que
 ceux
 qui
 viennent
 d’être
vécus
en
Asie,
et,
par
répercussion,
dans
de
nombreux
pays,
ne
devrait‐elle
pas
être
de
nous
 souvenir
 que
 nous
 ne
 sommes
 que
 des
 hommes
 fragiles,
 bien
incapables,
malgré
toute
leur
science,
de
dominer
les
éléments ?
Si
la
précarité
de
la
vie
terrestre
nous
est
ainsi
rappelée,
n’est‐ce
pas
pour
que
nous
comprenions
qu’il
existe
d’autres
valeurs
que
celles
 qui
 se
 voient
et
 se
 touchent,
et
 que
 celles‐là
 sont
éternelles.
« Les
 choses
 visibles
sont
passagères,
mais
les
invisibles
 sont
éternelles »
 (2
Corinthiens
4 :
18).
Ce
sont
elles,
3
en
définitive,
qui
doivent
occuper
dans
notre
vie
la
première
place,
et
il
n’y
a
pour
cela
qu’une
seule
voie :
connaître
Celui
qui
en
est
l’Auteur,
l’aimer
et
le
servir.
Dieu
a
parlé !
Qui
écoute ?

Madeleine
VAYSSE.

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Parnel Elusme
Parnel Elusme is the founder of Radio Voix du Salut. I love teaching the word of God. My favorite bible verse is: Philippians 4:13(I can do all things through Christ who strengthens me).

Écrit par: Parnel Elusme

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