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Radio voix du salut RVS
Découverte Musicale
L’entrée
dans
le
3ème
millénaire
avait
donné
lieu,
il
y
a
cinq
ans,
à
des
projets
de
réjouissances
encore
jamais
vus.
C’était
essentiellement
au
Château
de
Versailles,
et
dans
la
célèbre
Galerie
des
Glaces
qui
devaient
se
dérouler
des
festivités
rassemblant
plus
de
mille
personnalités
qui
auraient
célébré
avec
faste
cet
événement
rarissime :
le
passage
d’un
millénaire
à
l’autre.
Mais
quelques
jours
avant,
une
tempête
d’une
ampleur
jusqu’alors
inconnue
a
atteint
toute
la
France,
et
particulièrement
ce
lieu,
touchant
à
la
fois
les
bâtiments
et
le
Parc
de
ce
château
renommé.
Des
arbres
plusieurs
fois
centenaires
furent
déracinés
et
le
saccage
fut
spectaculaire,
à
la
fois
dans
et
hors
des
bâtiments,
ce
qui
annula
les
projets
en
question.
Aujourd’hui
encore,
de
nombreuses
forêts
françaises
n’ont
pu
être
restaurées
dans
leur
état
primitif.
Cinq
ans
après
cette
catastrophe,
le
monde
a
fêté
Noël
dans
une
débauche
de
lumières,
de
cadeaux,
de
gastronomie
qui
semblait
ne
jamais
avoir
été
atteinte.
Une
fois
encore
survint
l’imprévisible ;
des
images
de
fin
du
monde
s’imposèrent
partout
sur
les
écrans,
alertant
le
secours
du
monde
entier.
ET
cela
est
arrivé
dans
un
endroit
qui
avait
attiré
des
milliers
de
touristes
de
tous
les
coins
du
monde
en
raison
des
agréments
d’une
nature
paradisiaque
et
de
tout
ce
qui
y
était
mis
en
œuvre
pour
satisfaire
le
soir
de
plaisir.
Aves‐vous
réfléchi
que
si
cela
s’était
produit
deux
semaines
plus
tôt
ou
deux
semaines
plus
tard,
il
y
aurait
eu
moins
de
victimes ?
Pourquoi,
justement
au
moment
des
plus
importants
rassemblements
de
gens
venus
des
quatre
horizons ?
Dieu,
qui
tient
dans
Sa
main
la
destinée
des
hommes,
a
permis
qu’il
en
soit
ainsi.
Comment
devons‐nous
le
comprendre ?
Tout
d’abord,
qu’on
ne
s’y
trompe
pas !
« Lorsqu’Il
afflige,
il
a
compassion
selon
Sa
grande
miséricorde ;
Ce
n’est
pas
volontiers
qu’Il
humilie
et
qu’Il
afflige
les
enfants
des
hommes «
(Lamentations :
3 :
32,
33).
Dans
Son
infinie
sagesse
de
Père
éternel,
le
Seigneur
constate
que
ceux‐ci
sont
inaccessibles
aux
seuls
appels
de
tendresse,
et
Il
se
voit
contraint,
à
regret,
de
leur
parler
par
les
épreuves.
Quand
tout
va
bien,
il
est
si
facile
de
se
passer
de
Dieu !
Pour
leur
éviter
un
malheur
plus
grand
–
La
perte
éternelle
de
leur
âme
–
Dieu
éprouve
les
hommes
au
sein
de
leurs
plaisirs,
essayant
de
les
rapprocher
de
Lui
qui
est
la
vraie
source
de
toute
consolation,
de
toute
force.
Dans
une
épreuve
collective
comme
celle
que
viennent
de
vivre
ces
pays
d’Asie,
il
y
a
toujours
des
innocents
qui
souffrent,
c’est
vrai.
Lorsque,
dans
l’histoire
biblique,
Dieu
demandait
à
son
peuple
de
détruire
les
nations
païennes,
il
y
avait
aussi
des
enfants.
Mais
Dieu
savait
qu’ils
portaient
en
eux
les
germes
hérités
de
la
méchanceté
des
pères
et
Il
donnait
des
ordres
précis
pour
sauver
ce
qui
pouvait
l’être
encore.
2
Hélas,
l’Écriture
dit
que
le
bœuf
et
l’âne
connaissant
leur
maître,
mais
l’homme
ne
connaît
pas
son
Créateur
et
refuse
à
Celui‐ci
d’entrer
dans
sa
vie
et
dans
son
cœur.
Quand
cette
attitude
de
rejet
permanent
arrive
à
porter
les
conséquences
toutes
naturelles
de
ce
choix,
alors
on
s’étonne,
on
s’indigne
de
ne
pas
avoir
été
protégé.
Sachons,
cependant
que
« le
bras
de
l’Éternel
n’est
pas
trop
court
pour
sauver ».
Il
connaît
les
siens
et
les
garde
comme
la
prunelle
de
son
œil
dans
toutes
les
circonstances.
Partout,
Dieu
peut
garder
ceux
qui
se
confient
en
Lui.
Sa
puissance
ne
saurait
être
mise
en
doute
ni
son
amour
être
ignoré.
Il
suffit
de
relire
le
Psaume
91,
auquel
tant
de
chrétiens
se
sont
référés
pendant
la
seconde
guerre
mondiale :
« Que
mille
tombent
à
ton
côté
et
dix
mille
à
ta
droite,
tu
ne
seras
pas
atteint ;
de
tes
yeux
seulement
tu
regarderas
et
tu
verras
la
rétribution
des
méchants »
(Psaume
91 :
7‐8).
Ce
n’est
pas
de
notre
rôle
de
juger
qui
peut
et
doit
être
protégé ;
mais
il
saute
aux
yeux
que
ce
n’était
pas
pour
chercher
la
gloire
de
Dieu
et
Son
service
que
tous
ces
touristes
s’entassaient
sur
les
plages
ensoleillées
d’Asie
en
cette
période
de
Noël.
La
plupart
obéissaient
à
cette
« lame
de
fond »
qui
pousse
la
société
à
rechercher
le
plaisir
et
l’avantage
immédiat.
Par
ailleurs,
n’avons‐nous
pas
été
maintes
fois
informés
par
les
médias
de
l’existence
dans
ce
coin
du
monde
d’un
« tourisme
sexuel »
inquiétant
mais
hautement
rentable
financièrement ?
Suivant
les
lois
de
ces
différents
pays,
les
coupables
étaient
peu
punis
et
plus
souvent
relâchés.
Les
protestations
devant
ce
monstrueux
trafic
étaient
rares
et
faibles ;
alors,
on
ne
peut
que
se
souvenir
de
l’état
de
notre
monde
tel
qu’il
est
décrit
dans
l’Écriture
Sainte,
juste
avant
le
déluge :
« L’Éternel
vit
que
la
méchanceté
des
hommes
était
grande
sur
la
terre
et
que
toutes
les
pensées
de
leur
cœur
se
tournaient
chaque
jour
uniquement
vers
le
mal »
(Genèse
6 :
5).
N’avons‐nous
pas
atteint
le
même
niveau,
intensifié
encore
par
les
techniques
modernes
qui
multiplient
à
l’infini
les
conséquences
des
ces
actes
immoraux ?
Ce
que
Dieu
désire,
ce
n’est
pas
de
frapper
l’homme,
mais
de
le
convaincre
de
changer
de
comportement.
C’est
nous
qui
Le
contraignons,
par
notre
rébellion,
à
user
de
moyens
excessivement
pénibles
pour
éclairer
les
consciences.
Un
auteur
chrétien
du
dix‐neuvième
siècle
écrivait :
« Dieu
a
ses
raisons
aux
tornades,
aux
tempêtes,
aux
inondations,
aux
incendies.
Il
permet
aux
calamités
d’atteindre
son
peuple
afin
de
le
sauver
de
dangers
plus
grands.
Il
désire
que
chacun
examine
minutieusement
et
attentivement
les
dispositions
de
son
cœur
et
qu’il
se
rapproche
de
Dieu,
afin
que
Dieu
se
rapproche
de
lui.
Notre
vie
est
entre
les
mains
de
Dieu…
Il
permet
à
ce
qui
attriste
les
cœurs
de
frapper
ses
enfants
parce
qu’Il
voit
que
ceuxci
ont
besoin
de
suivre
avec
leurs
pieds
des
voies
droites,
afin
que
ce
qui
est
boiteux
ne
dévie
pas…
Il
sait
de
quoi
nous
sommes
faits,
et
Il
se
souvient
que
nous
sommes
poussière.
Cependant,
même
les
cheveux
de
notre
tête
sont
comptés.
Il
se
sert
des
causes
naturelles
pour
inciter
ses
enfants
à
se
souvenir
qu’Il
ne
les
a
pas
oubliés…
Sans
cesse,
Il
travail
à
notre
bien
éternel,
même
si
ce
n’est
pas
comme
nous
le
pensons ».
La
leçon
à
tirer
d’évènements
aussi
traumatisants
que
ceux
qui
viennent
d’être
vécus
en
Asie,
et,
par
répercussion,
dans
de
nombreux
pays,
ne
devrait‐elle
pas
être
de
nous
souvenir
que
nous
ne
sommes
que
des
hommes
fragiles,
bien
incapables,
malgré
toute
leur
science,
de
dominer
les
éléments ?
Si
la
précarité
de
la
vie
terrestre
nous
est
ainsi
rappelée,
n’est‐ce
pas
pour
que
nous
comprenions
qu’il
existe
d’autres
valeurs
que
celles
qui
se
voient
et
se
touchent,
et
que
celles‐là
sont
éternelles.
« Les
choses
visibles
sont
passagères,
mais
les
invisibles
sont
éternelles »
(2
Corinthiens
4 :
18).
Ce
sont
elles,
3
en
définitive,
qui
doivent
occuper
dans
notre
vie
la
première
place,
et
il
n’y
a
pour
cela
qu’une
seule
voie :
connaître
Celui
qui
en
est
l’Auteur,
l’aimer
et
le
servir.
Dieu
a
parlé !
Qui
écoute ?
Madeleine VAYSSE.
Écrit par: Parnel Elusme
3:00 am - 6:00 am
6:00 am - 9:30 am
9:30 am - 2:00 pm
2:00 pm - 7:00 pm
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